Temps de préparation : 15 min

Temps de cuisson : 1 h

Les ingrédients :

  • – 1 c.à.c d’extrait de vanille
  • – 5 jaunes d’œufs
  • – 18 cl de lait entier
  • – 200 g de crème liquide entière
  • – 55 g de sucre semoule
  • – 2 c.à.s de sirop de coquelicot
  • – cassonade pour la finition

Process :

  • Faire chauffer le lait avec l’extrait de vanille. Retirer du feu une fois que cela frémit et laisser infuser au moins 10 min.
  • Mélanger le sucre avec les jaunes d’œufs sans nécessairement les blanchir. Ajouter la crème liquide et mélanger. Ajouter ensuite le lait refroidi et mélanger.
    Finir par incorporer le sirop de coquelicot, mélanger et verser la préparation dans des plats à crème brûlée à l’aide d’une louche.
  • Enfourner 1h15 à 95°C.
  • Laisser refroidir avant de faire la finition. A ce moment, verser de la cassonade sur la crème et la brûler à l’aide d’un chalumeau jusqu’à ce que le sucre se colore pour donner du caramel.
  • Le sirop se boit avec de l’eau mais aussi en Cocktail :
  • Sirop de Coquelicot, jus de citron, Kirsch, vin ou eau pétillante, garnir avec glaçons et feuilles de menthe

Parmi les nombreuses espèces de stellaires (ou mouron des oiseaux), on rencontre souvent, illuminant nos paysages, la stellaire holostée, Stellaria holostea, plante de talus et bords de chemins ensoleillés ou de clairières mi-ombrées.

Mouron blanc ou mouron des oiseaux (Stellaria media)

Mouron blanc ou mouron des oiseaux (Stellaria media)
  • Floraison : Petites fleurs blanc pur en forme d’étoile de mars à novembre. Graines aplaties, brun rouge, contenues dans une capsule ovoïde.
  • Végétation : Tiges molles dressées ou rampantes. Feuilles vert brillant, ovales, acuminées.
  • Port et taille : Port étalé de 15 cm de haut environ.
  • Qualités : Annuelle ou bisannuelle. Une sauvageonne, au jardin ou dans la campagne. Comestible et médicinale.

Stellaire holostée (Stellaria holostea

Stellaire holostée (Stellaria holostea)
  • Floraison : Petites fleurs blanches à 5 pétales en mai-juin. Enchâssée dans les sépales, une capsule suit la floraison et contient des graines hérissées, rousses.
  • Végétation : Vivace herbacée, à souche traçante, très ramifiée, à tiges articulées, grêles, rugueuses quadrangulaires assez cassantes. Feuillage persistant, vert lumineux, rugueux.
  • Port et taille : Port dressé, souvent enchevêtré. Entre 30 et 45 cm de haut. Peut s’étaler sur 60 cm.
  • Qualités : Plante sauvage des bords de chemin et clairières. Fleurs et feuilles comestibles, mais elles n’ont pas la douceur du mouron des oiseaux. Ravissante en bouquet sauvage.

Semis de la stellaire

Nova/CC BY 2.5/Wikimedia

Où la semer ?

Même si la stellaire (ou mouron des oiseaux) préfère un sol riche et frais, elle s’adapte à tout, même aux terres sableuses ou légèrement calcaires.

L’exposition peut être ensoleillée ou mi ombragée.

Quand semer la stellaire media ?

Le semis s’effectue toute l’année, en dehors des périodes de gel.

Comment la semer ?

Vous pouvez récupérer des graines dans la nature, ou vous en procurer dans les bourses d’échange, si vous n’avez pas de mouron blanc dans votre jardin.

Lancez les graines à la volée, sur le sol bien préparé superficiellement. Arrosez à la pomme d’arrosoir.

Culture et entretien de Stellaria media

Culture et entretien de <em>Stellaria media</em>

Slaunger/CC BY-SA 3.0/Wikimedia

Il n’y a aucun entretien à prévoir pour le mouron des oiseaux. Une fois semée, la stellaire intermédiaire se débrouille seule. Méfiez-vous simplement de sa faculté à s’étendre parfois un peu trop vite. Mais elle s’arrache facilement.

Pour éviter trop de semis spontanés, récupérez les graines.

Bon à savoir : si vous avez la stellaire media dans votre jardin, c’est bon signe, car elle apprécie les sols équilibrés, fertiles, en bonne santé. De plus, c’est un très bon couvre-sol au potager en hiver (elle le protège des intempéries, de l’érosion due au vent, aux pluies…). C’est également une bonne plante à mettre au compost.

Maladies, nuisibles et parasites

Cette sauvageonne ne semble pas subir d’attaque, ni de nuisibles, ni de parasites, ni de maladies.

Récolte

Les tiges et les feuilles, très tendres, se mangent en salade (c’est ainsi qu’on apprécie sa légère saveur de noisette et son goût de laitue), ou cuites, en potages, dans du riz, des pâtes, de la semoule… Elles se récoltent toute l’année, même en hiver, en coupant les tiges à l’aide de ciseaux.

Consommez les jeunes tiges et feuilles le plus rapidement possible, dans la journée. Si vous souhaitez en garder quelques-unes un jour de plus, lavez-les et roulez-les, humides, dans un torchon. Glissez ce torchon au réfrigérateur.

Multiplication de la stellaire

Multiplication de la stellaire

Wsiegmund/CC BY-SA 3.0/Flickr

Les graines du mouron des oiseaux se récoltent toute l’année, puisque cette plante est capable d’avoir cinq générations par an issues du même pied, une seule plante pouvant produire 10 000 graines. Attendez qu’elles soient mûres, bien foncées.

Surtout, ne désherbez les semis spontanés qu’à bon escient.

Conseils écologiques

Le mouron des oiseaux contient de la vitamine C, du calcium, du magnésium, du fer, de la silice… Elle est tonique, diurétique, expectorante, légèrement laxative. Elle agit sur le système digestif (maux de ventre, hémorroïdes) et sur l’appareil respiratoire (en infusion pour les muqueuses).

La stellaire a également une action sur la peau, en usage externe, en cataplasmes de feuilles écrasées, luttant contre la couperose, le psoriasis, les bleus et petites plaies, les piqûres d’insectes, l’eczéma… Toujours en usage externe, elle soulage les rhumatismes et les affections articulaires : frictionnez les parties douloureuses avec une poignée de mouron blanc.

Quelques recettes :

Faites un pesto, en pilant les feuilles et les graines. Ajoutez un filet d’huile d’olive, salez, poivrez. Vous pouvez aussi ajouter quelques gouttes de jus de citron, si vous servez cette préparation avec du poisson.

Pour l’apéritif, à tartiner, mélangez une poignée de stellaire à du fromage blanc ou de la faisselle, ajoutez une petite échalote hachée, du sel et du poivre.

Pour une salade sauvage : lavez un cœur de laitue, un bol de stellaire, une poignée de feuilles sauvages aromatiques (oxalis, lierre terrestre, oseille, jeune feuilles de bourrache, d’amarante, de plantain, etc.), mettez toutes ces plantes dans un saladier, en coupant grossièrement les plus grosses, ajoutez de l’huile d’olive, du sel et du poivre, et décorez avec quelques fleurs : primevères, pâquerettes, fleurs de bourrache, violettes, soucis….

Ajoutez-en une poignée de stellaire à une écrasée de pommes de terre, avec du beurre, une dizaine de noix concassées grossièrement, du sel et du poivre.

Un peu d’histoire…

Le nom du genre, Stellaria, vient du latin stella, étoile, à cause de la forme des fleurs aux pétales échancrés.

Petits noms régionaux de Stellaria media : mouron blanc, mouron des oiseaux, morgeline, herbe à l’oiseau, bec-de-moineau, stellaire intermédiaire, fleur en satin, herbe de langue, herbe à bolduc… Le surnom le plus courant, mouron des oiseaux, est dû au fait que ses graines sont très appréciées des oiseaux.

Petits noms de Stellaria holostea : stellaire holostée, grande stellaire, herbe à la Sainte-Vierge, langue-d’oiseau…

Parmi les croyances et légendes, on retrouve la stellaire aussi bien porte-bonheur que synonyme du diable.

Les propriétés médicinales du mouron blanc sont connues depuis le premier siècle. Il a été nommé et décrit dans les écrits de Dioscoride, médecin, pharmacologue et botaniste grec.

Au japon, cette plante fait partie de la salade aux sept herbes, Nanakusa-no-sekku, que l’on mange traditionnellement le 7 janvier depuis plusieurs siècles, avec du riz.

En France, le mouron blanc a été cueilli comme salade sauvage autant que le pissenlit jusqu’au début des années 1950.

Indications :

Le plantain contient de la pectine, de l’aucubine, des flavonoïdes (apigénine, lutéoline, quercétine) et d’autres dérivés phénoliques (acide caféique, chlorogénique) et des hétérosides (flavonol, acides phénol), une substance mucilagineuse (2 à 6%) riche en arabinose, galactose et acides uroniques (arabinogalactane anti-inflammatoire), de la vitamine C (8 mg/100g) ainsi que du soufre, du zinc, de la silice, du potassium et du calcium. Enfin on retrouve des glucides (polysaccharides), des tanins, des pigments et très peu de protéines et de lipides. Ce sont tous ces composants qui en font une plante extrêmement utile aussi bien en usage interne qu’externe.

Il faut savoir que l’aucubine favorise l’élimination par les reins et a des propriétés antimicrobiennes. On retrouve de nombreuses vitamines dans le plantain : vitamines du groupe B (B1, B2, et PP) et de la vitamine A. Différentes études ont révélé que cette plante avait de réels bienfaits sur la santé. En 1980, des spécialistes allemands ont administré un mélange à partir de plantain à 593 volontaires qui souffraient d’infections respiratoires aiguës pendant 10 jours : leur toux a diminué de façon significative..

Tout d’abord, il est indiqué contre les inflammations des voies respiratoires, des muqueuses de la bouche et du pharynx. Le plantain est un expectorant naturel contenant du silicium. Faire une infusion de cette plante peut être utile si vous avez des problèmes respiratoires, de la toux ou un rhume. En usage interne, cette plante peut également être utile pour lutter contre l’eczéma, les infections urinaires, les hémorroïdes ainsi que la constipation. En usage externe, elle est utilisée pour arrêter les saignements, cicatriser les plaies et accélérer la cicatrisation, calmer les piqûres et soulager les rhumatismes. Le plantain aide également à calmer les irritations conjonctivales ou les infections de la bouche, et il est aussi prescrit pour lutter contre l’ulcère gastroduodénal et pour consolider des fractures !

Il est depuis toujours le principal allié des randonneurs pour se débarrasser des moustiques. Comme il est de nature astringente, il absorbe les toxines. On peut l’écraser ou bien le mâcher et l’employer comme cataplasme sur une piqûre, une morsure, sur un bouton d’acné ou sur une coupure. Il faut laisser agir le plantain pendant 4 à 12 heures..

Il est également reconnu pour avoir des effets curatifs sur le système digestif. C’est particulièrement utile pour les personnes qui ont pris des antibiotiques, des anti-inflammatoires qui ont abîmé leur système digestif. Les feuilles comme les graines ont des vertus curatives pour le système digestif. On peut utiliser les feuilles pour faire du thé, les ajouter dans une soupe, ou les sécher.

Contre-indications :

Il n’y a pas d’effets secondaires liés au plantain qu’on le prenne seul ou avec un médicament. Cependant, par précaution, il est déconseillé aux femmes enceintes car au cours d’un essai sur les animaux il a eu un effet stimulant sur l’utérus. Par contre, à haute dose, le plantain peut avoir des effets laxatifs et hypotenseurs. Certaines personnes peuvent être allergiques à cette plante.

Posologie:

Il est conseillé d’utiliser les feuilles et les fleurs fraîches, que l’on peut récolter 10 mois sur 12. Cependant, il vaut mieux cueillir le plantain lorsqu’il est en fleurs, au printemps et loin de toute source de pollution. Bien laver les feuilles. Pour les sécher, placez-les au soleil ou dans un four chaud.

• salade : préférez les jeunes feuilles que vous ajouterez à votre salade habituelle. C’est légèrement

Diplotaxis erucoides GB : Wall rocket

Ordre : Brassicales

Famille : Brassicaceae

JanFevMarsAvrilMaiJuinJuilletAoutSeptOctNovDec









Fausse Roquette

Elle est reconnaissable à ses fleurs blanches (mellifères) à quatre pétales en croix, comme toutes les fleurs de cette famille. Ses feuilles sont comparables à celles de la Roquette des jardins, d’où cette appellation.
Ses graines sont contenues dans des siliques (fruit sec spécifique des Brassicacées) sur deux rangs, (diplotaxis = deux rangs),

Vertus Médicinales :

La Fausse Rouquette est très riche en vitamine C, tonique, dépurative et diurétique. Elle peut soigner les infections urinaires, vertu que l’on retrouve dans bien des Brassicacées autrement dit de la famille du chou.

Vertus alimentaires

Recettes : en salades en prenant soins de la laisser quelques minutes dans la vinaigrette afin de casser son fort gout piquant bien que certains puisse justement aimer ce côté très fort de la plante qui ressemble a de la moutarde.

Pesto de roquette

Sicile, Espagne, servies bouillies avec huile d’olives, ail et piment.

Languedoc, la rouquette servie avec des radis et du pain beurré

En Sicile, bouillie, revenue avec des œufs, sauce tomate et piment.

Contre indications

Mythologies et légendes

Approches ésotériques

Pouvoirs magiques

Concordances astrologiques

,

Caractère indicateur

Richesse des sols en bases et en azote disponible ou non pour les cultures

AIL ROSE ( Allium Roscum )

JanFevMarsAvrilMaiJuinJuilletAoutSeptOctNovDec









Même famille que l’ail des ours, les poireaux sauvages, la ciboulette et,

Les bulbes (Forts) et feuilles sont comestibles Cuits ou crus,

Vertus Médicinales :

L’ail a beaucoup de pouvoirs, Il est un des anti oxydant naturel le plus puissant, la molécule s’appelle alliine c’est un composé souffré qui est se produit en laissant l’ail haché s’oxyder à l’air libre 5 minutes.

Vermifuge, Maladies pulmonaires

Il réduit considérablement la pression artérielle des gens qui souffrent d’hypertension. Cet effet est obtenu avec quelques gousses d’ail par jour. Il abaisse la pression sanguine, détend les muscles lisses des vaisseaux sanguins et ainsi les développe. Ceci est parce qu’il contient de l’adénosine.

Vertus alimentaires

Recettes

  • Soupe d’ail sauvage :

Faire revenir les bulbes ainsi que quelles feuilles ciselées a l’huile d’olive jusqu’a ce que les bul bes deviennent translicides,

Ajouter une cuilère de farine, remuer délier avec de l’eau ajouter une cuilllere de miel, éventuellement deux trois feuilles de sauge, cuire 15 minutes.

  • Liqueur d’ail :

ail pressé alcool, laisser au soleil 3 jours sirop

Contre indications

Consommé en trop grandes quantité, l’ail peux irriter le systeme urinaire et digestif

Mythologies et légendes

Pour Klaudies Galênos (Claude Galien) médecin grec, la « rose puante » était le « thériaque des paysans ».

Dans la Grèce antique, l’ail jouait un rôle important dans les célébrations en l’honneur de la déesse Hécate qui présidait à la magie et à la divination. Les participants se gavaient d’ail, puis allaient en procession orner de guirlandes d’ail les autels de la déesse pour apaiser son courroux.

L’ail acquiert ses lettres de noblesse lorsque Homère l’utilise dans l’Iliade et l’Odyssée : la déesse Circé transformait d’un coup de baguette magique, en loups et en lions les imprudents voyageurs qui osaient s’aventurer sur son île. Ulysse, débarquant sur l’île, envoie plusieurs de ses compagnons en éclaireurs. La magicienne les capture et les change en pourceaux. Ulysse part les délivrer, après s’être procuré auprès d’Hermès un ail censé le protéger contre les maléfices de la déesse. Le héros grec déjoue toutes les ruses de Circé, se fait aimer d’elle et l’oblige à désensorceler ses compagnons.

Approches ésotériques

Pouvoirs magiques

Dans les campagnes on dit qu’il chasse le Diable

Concordances astrologiques

Traduire/translate»